Lorsqu’on donne naissance à en enfant, on a tendance à retirer tous ses bijoux, premièrement pour ne pas les abîmer mais aussi pour ne pas que bébé se blesse avec. Sauf qu’après la naissance, on a vraiment besoin de se retrouver, de se sentir belle et élégante et de se rappeler la femme gracieuse qu’on était avant. Les Croquijoux sont là pour allier élégance et sécurité de l’enfant.
L’idée d’un start-up française
Un jour, Vincent Payet, ingénieur de formation, s’aperçoit que, depuis la naissance de leur fils, sa femme Sylvie Camacho ne porte plus de bijoux, malgré son goût prononcé pour de tels accessoires. Il cherche alors une solution pour remédier à ce problème et a l’idée de génie de concevoir des bijoux en silicone que les bébés pourraient mâchouiller sans risque.
Après de nombreux tests réalisés dans un laboratoire indépendant à Lyon, il arrive à une version définitive de son produit et crée sa propre société, Doucenfance, basée à Basièges au sud de Toulouse. Ils sont maintenant quatre à travailler sur ce projet : une apprentie, une salariée, un designer et Vincent Payet lui-même à la gestion de la société.
Du silicone pour une sécurité et une hygiène irréprochable
Avant de pouvoir commercialiser sa gamme de Croquijoux, Vincent Payet a dû réaliser de nombreux tests afin de garantir une sécurité et une hygiène irréprochable à ses bijoux pour qu’ils puissent être adaptés aux nouveaux-nés : le matériau devait être suffisamment souple, les colorants non toxiques et la forme sécuritaire.
Grâce à de nombreuses tentatives, il a enfin trouvé un fournisseur de perles chinois dont les produits respectent toutes ces conditions, des tests étant toujours régulièrement réalisés afin de vérifier que la qualité reste constante. Quant à la réalisation de l’assemblage, le « made in France est garanti » : ce sont l’apprentie et l’employée qui se chargent de faire des nœuds entre chaque perle afin qu’elles ne glissent pas et d’accrocher les fermoirs facilement détachables afin que ni bébé ni maman ne se fasse mal lorsque l’objet est arraché.
Un designer en charge de l’esthétique
Des bijoux en silicone peuvent paraître une noble idée, mais on imagine facilement un bracelet à l’effigie de Dora l’Exploratrice ou des Tortues Ninjas. Heureusement, Vincent Payet a pensé à tout et a recherché l’aide d’un designer professionnel afin de réaliser l’esthétique de ses bijoux.
Ainsi, on a vraiment à faire à une gamme d’accessoires esthétiques et élégants tout en étant adaptés aux enfants en bas âge. D’ailleurs, le fils de Mr Payet et Mme Camacho, qui a maintenant trois ans, semble toujours apprécier autant ces bijoux, ce qui les a inspirés à lancer deux nouvelles gammes de bijoux : une pour les hommes, et une pour les enfants eux-mêmes.